La Re-naissance, son nom l'indique, était une nouvelle naissance. C'est un mot forgé en Italie au 16° siècle signifiant "Renaissance de l'être et avant tout renaissance des lettres".
PREAMBULE
Comme elle fut le berceau de l'Humanisme, ensuite étendu aux dimensions de l'Europe, la péninsule italienne fut le « grand atelier » (A. Chastel) où s'élabora la Renaissance. Elle y avait des titres privilégiés : le maintien, à travers l'époque médiévale, des traditions de l'architecture antique, dont certains monuments étaient encore visibles, le résultat des premières fouilles archéologiques, la redécouverte précoce des écrits théoriques des Anciens, la multiplication des cités-États et des cours princières engagées dans une concurrence où l'art tenait sa bonne place, enfin et surtout, la vision humaniste de la destinée humaine, pour laquelle la contemplation de la Beauté peut être, doit être, un chemin d'accès au divin. C'est d'abord le retour des modèles de l'antiquité grecque et romaine et la plupart de ces modèles ;Homère, Virgile, Démosthène, Horace, Cicéron qui n'étaient pas insensibles à l'Europe depuis les invasions des Barbares. Il y avait dans le moyen âge beaucoup d'esprits élevés, cultivés, même par les études littéraires, surtout au 9eme siècle, depuis les temps de Grégoire VII sous l'impulsion de Charlemagne, jusqu'au règne de Saint Louis, époque où la civilisation du moyen age ,produit les chefs-d'œuvre.
Le classicisme italien
La descente de Charles VIII en Italie, la chute des Médicis furent l'occasion d'un grand déplacement des artistes. Beaucoup furent appelés ou se réfugièrent à Rome, où la Papauté se lançait avec ardeur dans une politique de rénovation ou de reconstruction des monuments prestigieux de la chrétienté et dans le remodelage de la ville. Rome devient pour un quart de siècle un immense chantier où le rassemblement des plus grands talents entretient une vive émulation et permet de fécondes synthèses. Jusqu'à la mort de Raphaël en 1520, et jusqu'au sac de Rome (1527), règne un classicisme qui résume toutes les aspirations, tous les efforts et toutes les expériences du Quattrocento.
Les valeurs classiques sont étroitement liées au mouvement de l'esprit.
Tout classicisme repose sur une esthétique.
les valeurs sont l'Ordre et l'Harmonie, valeurs divines exprimant la perfection de l'Être et de sa création. Elle est éternelle, car elle est Idée, donc essence incorruptible, elle est accessible par la réflexion et la contemplation.
Le classicisme part donc de la connaissance sensible de la Nature, « maîtresse des maîtres » (Léonard), mais il dépasse le simple constat et la simple imitation. A partir du réel, il choisit, il élabore un monde plus conforme au plan divin, il « idéalise » en ne retenant que ce qui peut exprimer l'ordre et l'harmonie du monde divin.
L'art né de cette élaboration n'est pas passif.
Moyen de connaissance, il doit délivrer un message, religieux, intellectuel, moral. Il est histoire, où le décor, l'expression plastique des sentiments, les couleurs assemblées, les formes, doivent élever le spectateur à la réflexion. Sur le plan des formes, et quelle que soit la branche des arts qu'on pratique, la symmetria est la traduction normale de cette aspiration à l'ordre et à l'harmonie.
Qu'il s'agisse d'édifier un palais ou une église, de dresser une statue ou de faire un portrait, de peindre une action ou d'exprimer un mythe, on cherche avec application la composition qui distribue le plus également les volumes et les personnages, qui exprime le mieux les rapports mathématiques de l'univers
Sans remonter jusqu'à Giotto (1266-1337), savant architecte et peintre de génie, qui rompt délibérément avec la fixité byzantine pour introduire, avec une souveraine efficacité, la vie, l'action, le décor, dans la figuration des grandes scènes de l'histoire sainte, il faut au moins dater des premières décennies du XVe siècle la mise en place des grands thèmes et des grands moyens de l'art de la Renaissance.
Trois artistes, trois florentins, trois amis aussi, doivent être mis au premier plan.
Brunelleschi (1377-1446), d'abord orfèvre et sculpteur, pose, après 1420, les principes de l'architecture nouvelle. -- La travée rythmique en architecture, qui répète le motif parfait en soi, l'étagement régulier des ordres, la composition pyramidale, le plan central, le respect des proportions idéales du corps humain, autant de moyens techniques qui traduisent‑cette symétrie idéale.----- S'il se conforme, dans la construction de la gigantesque coupole du Dôme de Florence (42 mètres de diamètre, 91 mètres d'élévation intérieure), au schéma gothique du monument, il donne à cet achèvement un développement tout nouveau.
Mais surtout, à San Lorenzo, à la chapelle Pazzi, à Santo Spirito, il invente les éléments du nouveau vocabulaire architectural, en s'inspirant de l'antique : l'arcade sur colonne, la frise, la corniche. Il introduit avant les définitions des théoriciens, le calcul subtil des proportions qui donnent à tout monument une structure rationnelle. Le jeu des rapports mathématiques, à la fois sensible intuitivement et analysable à la réflexion attentive, est ainsi lié au programme humaniste et traduit l'harmonie naturelle au niveau de l'oeuvre humaine. La vieille sacristie de Saint-Laurent, par ses emboîtements de volumes, son utilisation du carré et du cercle est ainsi un véritable « microcosme ».
Au même moment Masaccio (1401-1428) rompt en peinture, avec les mièvreries gracieuses du gothique international qui triomphe dans toute l'Europe et revient délibérément au vigoureux réalisme de Giotto. Il est surtout l'inventeur des règles de la perspective géométrique qui permet de figurer l'espace tel qu'il apparaît à l'oeil de l'observateur. Son œuvre, brève et mince, dont les fresques de Santa Maria del Carmine sont un bouleversant témoignage, ouvre une ère nouvelle. Désormais, les personnages du tableau sont situés dans un espace construit, aéré, ils peuvent dialoguer entre eux, exprimer vigoureusement leurs sentiments, et le spectateur, par la magie de la perspective est présent à la scène, entre dans elle, devient acteur...
Enfin, Donatello (1386-1466) donne à la sculpture ses aspects nouveaux: monumentalité, noblesse et réalisme. Inspiré aussi bien par la foi chrétienne que par la mythologie païenne, il traduit la grâce adolescente (David), la force tranquille (Saint Georges) .............Il réinvente la sculpture équestre (statue du Gattamelata à Padoue), utilise le bronze comme le marbre, le bas-relief comme la ronde-bosse. Son influence s'étend sur toute son époque et sur toute la péninsule. .....
a suivre sur le livre......
( Bartholomé Bernassar Jean Jacquart Le XVIe ARMAND COLIN Bibliothèque municipale Arcachon ) - d'autres textes de ces auteurs vous expliqueront mieux cette période si féconde)
Le paradoxe italien par denys hay Petit Extrait
Ces grandes phases assez artificiellement établies sont en général associées à certaines régions de l'Europe. Le rôle fécondateur de la France du nord au Moyen Age, des pays de la Manche et de la mer du Nord, puis de l'Allemagne un peu plus tard, fut repris par l'Italie lors de la Renaissance; c'était la première fois depuis l'Antiquité qu'elle allait servir de guide aux pays voisins empressés à la suivre.
Il y a là un paradoxe. L'Italie de la fin du XIVe et du XVe siècle était beaucoup moins riche qu'elle ne l'avait été et souffrit, pendant presque toute cette période, d'un déclin économique qui affecta également d'ailleurs le reste de l'Europe; quant à sa vie politique, elle était remplie des guerres agitant les petits Etats ou les dressant les uns contre les autres.
. C'est sur cette toile de fond qu'évoluaient lais principautés italiennes. Les communes du nord tombèrent aux mains de despotes locaux, les républiques de Toscane absorbèrent les cités voisines et, au sud, le royaume de Naples, souffrant du mauvais gouvernement chronique des princes de lignée française, était partagé entre ses prétentions sur la Méditerranée orientale et sa crainte des Aragonais établis en Sicile.
Un peu plus tard, d'autres événements influencèrent aussi la vie publique. A SUIVRE SUR LE LIVRE .....ETC
Italie à la RenaissanceLes autres centres. L'Italie compte encore de nombreux centres artistiques, de multiples écoles, plus ou moins tributaires de ce qui se faisait à Rome ou à Venise. Les élèves, assez décevants, de Léonard perpétuent à Milan et en Lombardie sa manière. Les centres de Mantoue, de Padoue, de Vérone sont absorbés par l'influence vénitienne. Bologne et l'Italie centrale sont dominées par Rome. Mais Parme, au centre d'un petit État princier, accède à la célébrité grâce à Antonio Allegri, surnommé Le Corrège (c. 1489‑1534). Sans doute familier de l'oeuvre de Mantegna, admirée à Padoue, il échappe à son influence comme à celles des autres maîtres. Sa peinture est dominée par la recherche de l'élégance gracieuse, atteinte par une extraordinaire délicatesse de touche, un choix de couleurs tendres, une lumière irisée. Les fresques de Saint‑Jean à Parme, les tableaux religieux ou mythologiques également chargés de sensualité témoignent de sa virtuosité. On est tout près d'un maniérisme que son talent sut éviter, mais que son élève, Parmesan (1503‑1540) l'adoptera en exagérant ses défauts. ( Bartholomé Bernassar Jean Jacquart Le XVIe ARMAND COLIN Bibliothèque municipale Arcachon ) - d'autres textes de ces auteurs vous expliqueront mieux cette période si féconde |
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Si la violence domine l'histoire de l'Italie au XIVe, au XVe et au début du XVIe siècle, il serait faux d'imaginer qu'en revanche la paix régnait ailleurs. La France et l'Angleterre étaient aux prises dans les hostilités de la guerre de Cent Ans, de 13 37 à 1453, et chacune d'elles dut faire face à de longues périodes de troubles intérieurs.
En France, à partir de 1392, le roi Charles VI sombra dans des crises de folie, ce qui donna libre champ aux rivalités des princes avides de disposer des finances royales selon leurs intérêts personnels: ainsi débutèrent les luttes des Bourguignons et des Armagnacs, dont Henri V d'Angleterre profita pour envahir la France, et qui ne prirent fin qu'avec la mort de Charles le Téméraire, tué en 1477
. L'histoire intérieure de l'Allemagne, des pays scandinaves ou du royaume d'Espagne n'est pas moins mouvementée. A la fin du Moyen Age, il n'y a guère de paix en Europe.
En un sens, la Renaissance italienne s'achève avec la disparition de Michel‑Ange et du Titien. Mais elle a eu le temps de se répandre comme la pensée humaniste, dans toute l'Europe, en vivifiant tout l'art occidental.
Diffusion, conversions, réactions CI DESSOUS
La maîtrise italienne paraît évidente et l'art de la péninsule devient le modèle idéal vers lequel on se tourne. Les artistes ont à coeur de faire un ou plusieurs séjours, plus ou moins prolongés, dans les centres principaux. Certains de ces voyageurs se fixent durablement, comme Jean Bologne (1529‑1608), né à Douai et devenu le plus florentin des sculpteurs. Mais le voyage d'Italie n'est pas nécessaire à qui veut connaître les oeuvres. L'imprimerie joue un rôle de diffusion considérable. La gravure sur cuivre, érigée à la dignité d'art, sert à reproduire les dessins, les tableaux, les monuments. Lucas de Leyde, Marc Antoine Raimondi, Dürer se font ainsi les propagateurs des oeuvres classiques. Les grands traités, antiques ou modernes, sont reproduits, illustrés. Les oeuvres d'art circulent aussi : un marchand de Bruges achète une Madone du jeune Michel‑Ange, François 1er rapporte d'Italie des copies d'antiques mais aussi des toiles de Raphaël et de Léonard. Enfin, les artistes italiens sont d'ailleurs sollicités par les princes eues grands. Après Charles VIII, François 1er en fait venir : il invite le vieux Léonard, qui meurt près d'Amboise en 1516, Cellini, Rosso, Serlio, Primatice. Marguerite de Parme invite Jacopo de Barbari à Malines, Charles Quint s'attache Titien, Sansovino travaille au Portugal.
Mais la pénétration des formules créées en Italie ne se fit pas sans difficultés. L'accord intime entre la pensée humaniste, la tradition artistique et les aspirations des maîtres, si forte dans la péninsule, ne pouvait se retrouver ailleurs. Chaque pays avait son goût, qui ne céda pas brusquement devant les révélations. ........ A SUIVRE SUR LE LIVRE
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( Bartholomé Bernassar Jean Jacquart Le XVIe ARMAND COLIN Bibliothèque municipale Arcachon ) - d'autres textes de ces auteurs vous expliqueront mieux cette période si féconde
le Moyen age la Renaissance Nathan Bibliothèque municipale Arcachon
Au début du Quattrocento (XVème siècle), les cités italiennes jouent un rôle économique et politique important en Europe. Dirigées par des familles princières, ces dernières rivalisent pour produire ce qu'il peut y avoir de plus beaux pour exprimer leur puissance. Ce sont les Médicis à Florence, les Sforza à Milan, les Montefeltre à Urbino, les Gonzague à Mantoue, les Este à Ferrare ou Venise. Dans ce contexte, c'est à Florence que s'exprimeront les premiers peintres de la Renaissance. L'essor de cet art est dû à l'importance du monde de la finance, à la culture humaniste qui progresse, aux commandes d'œuvres qui croit et à l'apparition d'ateliers spécialisés. L'artiste devient une personne recherchée par les mécènes |
Au commencement du siècle suivant , Dante composa, la Divine Comédie. Il y résuma toutes les sciences, en y ajoutant une connaissance plus approfondie et une plus grande admiration des auteurs de l'antiquité. Son poème servi de transition entre le passé et le mouvement de la Renaissance qui eut bientôt pour zélés partisans Pétrarque, Boccace, et autres littérateurs où érudits italiens. Aussi toute étude de cette époque doit-elle mettre l'accent sur les capacités créatrices qui se faites dans le milieu français
LA RENAISSANCE EN ITALIE
Dante Alighieri composa "La Vita nuova" Il décrit les sentiments qu'il avait éprouvé de bonne heure pour la jeune Béatrice,morte à la fleur de l'âge( Le poète explorait cette terre nouvelle de l’amour quand Béatrice mourut, à l’âge de vingt-quatre ans. Sa douleur lui révéla que les perfections dont se nourrissait son amour, loin de se muer en abstractions invulnérables, n’avaient pas cessé d’être pour lui des qualités de la vie .)
le traité de "Vulgaris Eloquentia" sur l'histoire et les ressources des divers dialectes de la langue italienne;le "traité de Monachia" composé en faveur de Henri VII pour prouver la nécessité d'un pouvoir monarchique indépendant du pouvoir spirituel.
"La divine Comédie" poème Italien ,ainsi intitulé parce que le sujet est religieux et que et que le récit finit par un dénouement heureux, la vision intuitive de Dieu. Le poème se divise en trois parties distinctes: l'enfer,le purgatoire et le Paradis. Il comprend 100 chants ,formés par des textes en ver. Le poète transporte sa vision d'être dans une forêt sauvage ,au pied d'une colline, prêt a se faire dévorer par des animaux sauvages, lorsque Béatrice vient à son secours. Elle lui donne pour guide "Virgile" qui le conduit à travers les 9 cercles de l'enfer et les 7 degrés du purgatoire . C'est Béatrice qui le conduit dans le paradis où il parvient a contempler Dieu face à face .
Parmi les plus beaux passages on peut citer l'épisode de "Francesca" de Rimini, le supplice "d' Ugolin",la rencontre de Béatrice, l'éloge de Saint François d'Assise, et de Saint Dominique ,la peinture du bonheur céleste. On y trouve aussi quelques passages obscurs, un mélange du sacré et du profane.
Dante fixa la langue poétique de l'Italie . Elle excita une admiration universelle et des chaires furent crées dans plusieurs viles pour en donner le commentaire.
François Plutarque, outre ses poésies a laissé plusieurs écrits ,des "Egloques latines", un poème" Africa", sur les guerres puniques en l'honneur de Scipion l'Africain, des ouvrages philosophiques et un traité " de Scriptis Veturum Indagandis ..Il recueilla un grand nombre de manuscrits et on lui attribue la découverte "des institutions oratoires" de Quintilien, de plusieurs "lettres" et plusieurs " discours de Cicéron " .
Jean Boccace fut pour la prose italienne ce que fut Dante et Pétrarque avaient fait pour la poèsie. Né .....
Parmi les Italiens du 14eme siècle on peut encore citer deux frères Jean et Mathieu Villani, auteurs d'une histoire de Florence.
Sainte Catherine de Sienne (fut proclamée docteur de l'Église par Paul VI en 1970)
Jean de Ravenne, élève de Pétrarque, qui a répandu dans plusieurs villes le goût de l'érudition
Emmanuel Chrysoloras , envoyé en Italie par l'Empereur Jean II, paléontologue, publia une grammaire grecque.
Il eut pour élève GUARINI de Vérone qui découvrit les poésies "de Catulle "et fut le premier Italien à donner des leçons publiques en Grec.
Un autre de ses élèves LE PAGE, -1380 1459 - ,secrétaire apostolique sous huit Papes, écrivit une excellente'' Histoire de Florence '',et découvrit tant au couvents que dans d'autres monastères les oeuvres de Quitillion, de Vituse, de Frontin , de Végéce, presque tous les poèmes de Lucrèce...plusieurs discours de Cicéron ,de le Pogge, eut pour rivaux :Léonard Bruno d'Arezzo qui traduisit tous les oeuvres d' Aristote, de Plutarque, de Démosthène, xenophos..de Jean Aurispa.. Il rapporta de Constantinople, plus de 230 manuscrits d'auteurs grecs comme Callimagne, Platon, Diodore de Sicile...Il traduisit la plupart des auteurs grecs et latins VALLA ET PONTANUS, tous les deux célèbres pour leur érudition et le nombre de leurs écrits
EXCÈS DE LA RENAISSANCE
La passion des érudits italiens pour l'antiquité grecque ou romaine, les entraîna dans des excès qui devinrent funestes, par rapport au développement de la civilisation moderne La plupart s'inspirèrent des traditions païennes et se bornèrent au culte de la forme et de la matière Ils imitaient les anciens et ne produisaient que des oeuvres dépourvues de conceptions fortes et originales. Leur aveuglement provenait de la non consultation des avantages de la littérature nationale ,de l'inspiration chrétienne dans les lettre et les arts.
La redécouverte de l'art antique
Les monuments de l'époque romaine sont nombreux dans les villes italiennes : théâtres, amphithéâtres, temples... Architectes, peintres, sculpteurs les visitent et les étudient : ils réalisent des croquis, des plans, s'intéressent à la perspective, aux proportions des monuments et des statues...
De grandes fouilles sont entreprises à Rome. Les ouvres d'art découvertes sont rassemblées dans des musées. Les princes européens constituent des collections privées ; ainsi François 1er fait mouler de nombreuses statues et transporte les copies dans ses châteaux.
source histoire 2 livres (en différents écritures manuscrites , on se rend compte que plusieurs personnes ont recopiés ces pages qui sont ensuite photocopiés avec des moyens anciens) Document assez rare collection Perso - Histoire du Monde