Rogier
Van Der
Weyden
| Rogier Van Der Weyden,
changeant son nom français de `de le' à son
équivalent flamand, qui est `van der Weyden'.,né en
1399-1400 à Tournai,fils d'Henry de le Pasture de coutelier et Agnes
de Wattrelos ,fit ses débuts de peintre dans 1'atelier de Robert
Campin vers 1427. . En 1426, il a épousé Elisabeth Goffaerts (C.
1405-1477).Il fut parmi les rares à atteindre une notoriété
internationale de son vivant. Ayant fait ses preuves il sera rapidement admis comme peintre de la ville de Bruxelles où il y travaillera notamment pour la cour du Duc Philippe Le Bon, les monastères, les nobles et les négociants italiens installés dans la ville. Il a perfectionné la
description des intérieurs et des paysages dans la perspective appropriée.
Les références directes à des maîtres plus tôt - comme, par exemple, dans
ses plusieurs versions de Saint luc peignant la Vierge Il a laissé lui non seulement un atelier évidemment grand avec les aides extrêmement bien élevés, mais également une demande continue de son travail. L'Atelier a continué avec son fils Pieter (1437-after 1514), aussi un peintre. |
http://www.strasmag.com/art/renaissance.htm
http://www.abcgallery.com/W/weyden/weyden.html
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Jeune Femme Vers 1432-1435 Chêne, 47 x 32 cm Berlin, Staatliche Museen Chêne, 47 x 32 cm Berlin, Staatliche Museen |
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Ce tableau, très impressionnant,
est le plus ancien portrait de Rogier van der Weyden Les voiles blancs mettent remarquablement le visage en valeur. Le regard fixe est dirigé vers vous On peut tourner autour du visage et on a l'impression qu'elle vous regarde toujours
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Cet important
tableau comporte les armoiries de la famille bourguignonne de Clugny Plus encore que la Lamentation de La Haye, ce tableau laisse supposer au moins une conception de Rogier van der Weyden. La Vierge, avec son buste maigre et son geste saccadé, rappelle directement la tension des oeuvres tardives. Par contre Gabriel, qui présente un visage plus aimable, est vêtu d'une chape dont le peintre s'est complu à détailler la splendeur du brocart. Ces caractères correspondent à ce que l'on peut attribuer avec quelque vraisemblance à la manière de Pierre van der Weyden................................a suivre sur le site qui est remarquable pour la description des tableaux
http://www.espace-art.net/Van%20der%20Weyden/van%20der%202.htm
Cet important triptyque a été commandé par l'évêque de Tournai Jean Chevrot, président du conseil du duc de Bourgogne, et son ami Philippe Courault qui devait devenir, peu après, abbé du couvent de Saint Pierre de Gand, pour la chapelle fondée par le premier des deux, dans la collégiale de Poligny.....................................a suivre sur le site http://www.espace-art.net/Van%20der%20Weyden/van%20der%202%20p%201.htm voir ce site qui est remarquable pour la description des tableaux
Les personnages religieux, de taille imposante, occupent tout l’avant-plan. Dans la Déposition de la croix du Prado, ou dans la Mise au tombeau du Musée des Offices, ils ne sont pas absorbés dans l’action comme dans une descente de croix baroque de Rubens, ou dans une mise au tombeau Renaissance du Titien. Ils sont immobiles, figés tout à coup. Ils présentent le corps du Christ de face, à contempler. Leurs expressions incitent à pénétrer avec eux dans la désolation et la prière. À ce point de vue, Rogier van der Weyden demeure très gothique voir le site s v p . ci dessous Parmi ses tableaux religieux – souvent des rétables – il est étonnant de voir le nombre consacré au Christ mort : une dizaine de crucifixions, au moins cinq piétas (ou lamentations), une déposition de la croix, une mise au tombeau. Et plusieurs sont de grands chefs d’œuvre qui ont marqué la sensibilité religieuse et picturale du XVe siècle. http://www.culture-et-foi.com/coupsdecoeur/oeuvres_dart_2004_weyden.htm
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St Luke Drawing the Virgin
Saint Luc et la Vierge
http://www.hermitagemuseum.org/
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