Il était le père de l'art  moderne. L'urne ou l'Arca de marbre fait pour contenir le corps de Saint Dominique dans l'église portant son nom à Bologne, serait un de ces premiers travaux, mais montre déja la maturité

 À Florence il a conçu l'intérieur de Sainte Trinité que Michaël Ange a aimé tellement qu'il l'ait appelé sa dame, le "mia Dama de La". Après avoir été passé commande par les Gibelins pour détruire le baptistère fréquenté par les Guelfes , Niccola a miné la tour appelée ,la chute  n'a pas touché l'édifice . Sur son retour vers Pise, l'architecte a érigé le campanile pour l'église de S. Niccolò qui contient l'escalier remarquable d'enroulement sans support à son centre ; une invention répétée par Bramante pour le Belvédère",

 En 1242 Niccola supervisera le bâtiment de la cathédrale de Pistoja, et en 1263 la restauration de S. Pietro Maggiore.

Il a transformé S. Domenico à Arezzo, le dôme chez Volterra, le Pieve et Sta. Margherita chez Cortona. Beaucoup de son travail à Pise est censé pour avoir péri dans le feu de 1610. Une création merveilleuse (1260) est le pupitre hexagonal et isolé du baptistère. Elle est soutenue par sept colonnes, trois d'entre elles se reposant sur des lions. Les panneaux ont des tableaux du nouveau testament ; les frontons, figures des prophètes et des évangélistes. La partie architecturale est gothique italien : les sculptures sont principalement les reproductions pures de l'antiquité. Un deuxième pupitre pour le dôme de Sienne -ci dessus - a suivi en 1266. La sculpture tôt de Niccola montre la maladresse, si nous devons croire que les figures en dehors du Misericordia Vecchia à Florence sont à lui. Un des derniers travaux de Niccola dans l'architecture était l'abbaye et l'église de  La Scorgola, commémorant Charles de la victoire de l'Anjou , maintenant en ruines.......

n'oublions pas ,les marbres dell'Opera del Duomo, Florence