Scène de dissection à la RenaissanceDurant la Renaissance, le médecin flamand André Vésale pratique la dissection de cadavres pour approfondir la connaissance de l'anatomie humaine. Sur cette enluminure, l'élève anatomiste ouvre le ventre d'un homme à l'aide d'un simple couteau, sous le regard de son maître.

Enluminure illustrant le Livre des Propriétés des Choses (Liber de proprietatibus rerum) de Barthélemy l'Anglais (rédacteur d'une encyclopédie vers 1230-1240). Manuscrit enluminé, traduit par Jean Corbichon, dernier quart du
xve siècle. Manuscrit français 218, folio 56. Bibliothèque nationale de France, Paris.
Archivo Iconografico, S.A./Corbis

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 A l'époque, la médecine se définit comme "la pratique de la philosophie naturelle sur le corps humain".

En réalité, on combat les maladie à l'aide d'une pharmacopée très diverses, à la croisée entre les remède de bonne femme et les recherches des alchimistes.
La syphilis par exemple se combat avec du VIF ARGENT, du bois de gayac, d'esquine, salsepareille, ou par une application d'antimoine vitrifié. La poudre de Mercure s'utilise contre les bubons.

MONTPELLIER est la capitale française de l'enseignement médical. A cette époque, pas de Cité Universitaire : les étudiants vivent soit dans les couvents avec les moines, soit dans des collèges groupés par nations.

Les études sont de trois ans et se décomposent en deux ans et demi de scolarité à Montpellier, et six mois de pratique à l'extérieur. Quand le candidat a terminé ce cycle il affronte les examens bloqués en fin d'études
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