Adoration
des Mages, ca. 1520
Attribué au maître de James IV de l'Ecosse
Encre et tempera sur le vélin
Legs de George D. Pratt, 1935 (48.149.15)

Cette miniature
saisissante est une des feuilles qui ont été probablement
détachées d'un livre tôt de seizième siècle . L 'image se
distingue par une conception spatiale sophistiquée, par laquelle la
section principale de la miniature semble être superposée sur le
fond qui dévoile un paysage continu de chaque côté de
l'image.
. La technique, l'arrangement de couleur, et l'utilisation de
l'espace sont semblables à ceux trouvées dans les travaux attribués
au maître de James IV de l'Ecosse, dont le nom dérive d'une
miniature dépeignant la règle dans un livre tôt de prière de
seizième siècle à Vienne . Plusieurs de ses manuscrits enregistrés
ont été commissionnés par les cours européennes nordiques, où des
images d'une telle vanité visuelle complexe auraient été en
particulier appréciées. |
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Ce miniature, dépeignant les vierges saints salué par le Christ aux
portes du paradis, était à l'origine une partie d'un bréviaire, qui est
un livre contenant l'Office divin pour la récitation chaque jour du
calendrier catholique.
L'utilisation généreuse de soulignages de feuille d'or
d'autres les dépenses du manuscrit original, qui a été commencé pour
Philippe le bon, duc de Bourgogne, en 1467, et fini en 1470 ,pour
Charles le fils de Philippe et son successeur.
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Feuille des heures
d'Étienne chevalier : La main droite de Dieu protégeant le fidèle
contre des démons, ca. 1452-60
Jean Fouquet (Français, ca.
1415/20-1478/81)
Tempera et feuille d'or
sur le parchemin ;
Robert Lehman Collection,
1975 (1975.1.2490)
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Les heures du
d'Étienne chevalier est l'un des manuscrits les plus
célèbres et largement les plus illuminés du quinzième siècle. Elle a
été peinte pour le trésorier de la France par Jean Fouquet,
l'artiste de cour aux Rois Charles VII et le Louis XI, qui a
fonctionné non seulement comme miniaturiste mais également en tant
que peintre de panneau et concepteur de paysage. Le
sujet est fortement peu commun, de même que la description
topographiquement précise du Paris médiéval, dans laquelle la
cathédrale de Notre-Dame, la flèche de Saint-Chapelle, le Pont
Saint-Michel, et d'autres monuments d'Île de la Cité ,Hôtel de Nesle
y compris, sont immédiatement reconnaissables. |
http://expositions.bnf.fr/fouquet/grand/ill5.htm
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