Giovanni Battista Gaulli dit la Baciccia

Christ et la Samaritaine (1680) épisode, tiré de l'Évangile de Giovanni (4, 1-2)  le Christ  parle avec la samaritaine

 La peinture exécutée autour  1680, manifeste un riche colorie, en hommage au Poussin

 http://www.galleriaborghese.it/spada/it/samarit.htm

Peintre italien. Ami du Bernin et membre de l'Académie de Saint-Luc, il travaille exclusivement à Rome, où il devient l'un des artistes les plus demandés par l'aristocratie de la ville. Sa renommée est surtout liée à la fresque du plafond de l'église du Gesù, représentant Le Triomphe du nom de Jésus (1672-83). Avec cette fresque, aux admirables effets spatiaux de perspective atmosphérique, Baciccia nous offre l'une des expressions les plus parfaites de baroque romain

http://www.cartage.org.lb/fr/themes/Biographies/mainbiographie/B/Baciccia/b01.html

 

Soutenu à Gênes en 1639, Giovanni Battista Gaulli (il Baciccio) est parti de la ville autour de 1657 et s'est établie à Rome. Il est devenu un protégé du sculpteur et de l'architecte Gianlorenzo Bernini (1598-1680), et a été accepté en tant d'être membre d'Académie di San Luca à Rome en 1662.

               Il a reçu sa première commission publique, pour un altarpiece   (panneau ,tryptique ) dans l'église de San Rocco, Rome, en 1663. En 1672, Gaulli a été retenu par la commission prestigieuse pour décorer l'intérieur de l'église de jésuite d'Il Gesù à Rome ; le fresque de plafond, illustrant le triomphe du nom de Jésus (1678-79), est un chef d'oeuvre de haut illusionnisme et théâtrale  baroques. Gaulli a reçu beaucoup de commissions ecclésiastiques pour les cycles et les altarpieces décoratifs.

             Il a également peint des portraits et des travaux mythologiques et religieux pour les patrons privés, parmi qui étaient plusieurs papes. Les premiers travaux à côté de l'artiste montrent son héritage de Genoese , façon et palette chaude et foncée.

              Gaulli a également expérimenté avec le classicisme bolonais en 1660, affectant une palette fraîche et sèche et un modèle plus linéaire. En ses années postérieures (après environ 1685), il a éloigné de la splendeur du baroque élevé vers un modèle plus classique, presque rococo, utilisant des couleurs moins intenses et des compositions plus sensibles. Beaucoup de schémas par l'artiste ont survécu, dans un éventail de médias ; presque toutes sont des études pour des peintures, donnant la perspicacité dans le procédé du fonctionnement de l'artiste. Gaulli est mort à Rome, peu de temps après le 26 mars 1709.

 traduit du  site écrit en Anglais

http://www.oberlin.edu/allenart/collection/gaulli_giovanni.html